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C’est il y a plus de 200 ans que Samuel Hahnemann, après 6 ans d’expérimentation, publia son ouvrage de référence, « l’ORGANON » dans lequel il édicte la loi de similitude, similia similibus curentur ( les semblables soignent) qui s’opposait à la loi en vigueur à l’époque évoquant la médecine des contraires, contraria contraribus curentur.



Une substance médicamenteuse absorbée par un sujet sain détermine chez ce dernier l’apparition de signes morbides (exemple une piqûre de guêpe développe un œdème rose, douloureux, amélioré par des applications froides). Prenons un sujet malade, présentant des signes comparables à ceux développés par notre sujet sain (toujours le même exemple, un individu qui présente au cours d’une maladie quelconque un œdème rose, douloureux , amélioré par des applications froides). Les deux individus seront guéris par le produit qui a provoqué chez l’individu sain l’œdème douloureux, à savoir du venin d’abeille, mais dilué de façon infinitésimale (très importante dilution), de telle sorte que le pouvoir toxique disparaisse au profit du pouvoir thérapeutique. Toujours dans cet exemple il s’agit du remède très classique : APIS MELLIFICA en 15 CH c’est à dire à la quinzième dilution hahnémannienne soit 10-30.

Ce qui veut dire ici, que l’ extrême dilution entraîne selon la loi d’Avogadro, une absence totale de matière, ce fait étant à l’origine de la polémique qui anime les thérapeutes « anti-homéopathie ».



Les dilutions classiquement utilisées en Europe sont les dilutions hahnémanniennes, de 10 en 10 (DH ou X) ou de 100 en 100 (CH) ou les dilutions Korsakoviennes. Ces dernières procèdent d’un système plus complexe : on mélange le produit de base au solvant, puis on vide entièrement le flacon, récupérant les micro- gouttes restant sur la paroi du flacon que l’on remplit à nouveau. L’histoire (ou les mauvaise langues) raconte que Korsakov, médecin de l’armée russe, n’avait pas beaucoup de flacons, mais beaucoup de solvant (alcool), ce qui lui permit de mettre au point cette méthode de dilution. Il est important de rappeler également, que entre chaque dilution (Hahnémanienne ou Korsakovienne), il faut secouer vigoureusement le flacon, ce qui a pour effet de dynamiser le remède. Historiquement, Samuel Hahnemann s’était aperçu que les remèdes qu’il donnait au domicile de ses patients se révélaient beaucoup plus efficaces que ceux administrés à son propre cabinet. Or , à cette époque, il se déplaçait à cheval, d’où les secousses qu’il convient de faire entre chaque dilution !



La présentation des remèdes est très diversifiée, gouttes, granules , globules, poudres, etc…



Plusieurs façons de pratiquer l’homéopathie existent ; et c’est faisant fi des querelles de chapelles, que je puis dire que toutes ont leur intérêt : l’unicisme (Etas-Unis et France), qui s’attache à la recherche d’un seul remède qui correspond au problème au moment précis, le pluralisme, qui « couvre » le cas en donnant plusieurs remèdes et enfin le complexisme (surtout en Allemagne et Suisse) qui préconise la prise de plusieurs remèdes mélangés dans un même flacon.



En médecine dentaire, l’utilisation de l’homéopathie est très importante dans tous les domaines, principalement au niveau des problèmes chroniques, mais également se révèle d’un grand secours, lors des pathologies aiguës ( douleurs, saignements, etc.). Nous utilisons principalement les méthodes pluraliste et complexiste.

Nos confrères médecins dentistes, sont de plus en plus intéressés par cette approche et c'est une bonne chose. En mai 2007, le Docteur Debard a été invité à Nantes en France pour parler d'homéopathie dentaire. Plus de 80 consoeurs et confrères étaient présents, tous très intéressés et attentifs ( et pourtant il faisait chaud...) restant assis  et prenant force notes durant 8 heures de cours.

Le groupe des praticiens entourant le Docteur Samuel Debard, sous un soleil radieux, au domaine du petit Plessy proche de Nantes.






Più di 200 anni fa, Samuel Hahnemann, dopo 6 anni di sperimentazione, pubblicò la sua opera fondamentale, "l'ORGANON" nella quale fissa la legge della similitudine, similia similibus curentur (i simili curano) che si opponeva alla legge in vigore all'epoca che evocava la medicina dei contrari, contraria contraribus curentur.

 

Una sostanza medicamentosa assorbita da un soggetto sano determina in quest’ultimo l'apparizione di segni morbosi (esempio una puntura di vespa sviluppa un edema rosa, doloroso, migliorato con delle applicazioni fredde). Prendiamo un soggetto malato, che presenti dei segni comparabili a quelli sviluppati dal nostro soggetto sano (sempre lo stesso esempio, un individuo che presenta durante una malattia qualsiasi un edema rosa, doloroso, migliorato con delle applicazioni fredde). I due individui saranno guariti dal prodotto che ha provocato nell'individuo sano l’edema doloroso, nella fattispecie del veleno di ape, ma diluito in modo infinitesimale (una notevole diluizione) in modo tale che il potere tossico sparisca a vantaggio del potere terapeutico. In questo esempio si tratta sempre del rimedio molto classico: APIS MELLIFICA in 15 CH, vale a dire alla quindicesima diluizione di Hahnemann, ossia 10-30.

Il che significa che l' estrema diluizione causa, secondo la legge di Avogadro, un'assenza totale di materia, questo fatto che è all'origine della polemica che anima i terapeuti "anti-omeopatia".

 

Le diluizioni classicamente utilizzate in Europa sono le diluizioni di Hahnemann, di 10 in 10 (DH o X) oppure di 100 in 100 (CH) o i diluizioni di Korsakov. Queste ultime procedono da un sistema più complesso: si mescola il prodotto di base al solvente, si svuota poi interamente il flacone, ricuperando le micro-gocce che restano sulla parete del flacone che si riempie di nuovo. La storia (o le cattive lingue) raccontano che Korsakov, medico dell'esercito russo, non disponeva di molti flaconi, ma di molto solvente (alcol), cosa che gli permise di mettere a punto questo metodo di diluizione. È importante di ricordare anche che tra ogni diluizione, di Hahnemann o di Korsakov, bisogna scuotere vigorosamente il flacone, azione che ha l’effetto di dinamizzare il rimedio. Storicamente, Samuel Hahnemann si era accorto che i rimedi che somministravano al domicilio dei suoi pazienti si rivelavano molto più efficaci di quelli somministrati presso il proprio studio. Ora, a quell’epoca, si spostava a cavallo, da cui le scosse che occorreva fare tra ogni diluizione!

 

La presentazione dei rimedi è molto diversificata, gocce, granuli, globuli, polveri, eccetera…

 

Esistono numerosi modi di praticare l'omeopatia; ed ignorando le liti di clan, che posso dire che tutte hanno il loro interesse: l'unicismo Stati Uniti e Francia) che si dedica alla ricerca di un solo rimedio che corrisponde al problema al momento preciso, il pluralismo che "copre" il caso somministrando più rimedi ed infine il complessismo (soprattutto in Germania e Svizzera) che raccomandano la somministrazione di più rimedi mescolati in uno stesso flacone.

 

In medicina dentaria, l'utilizzazione dell'omeopatia è molto importante in tutti i campi, principalmente a livello dei problemi cronici, ma si rivela anche di grande aiuto, al momento delle patologie acute (dolori, sanguinamenti, ecc.). Noi utilizziamo principalmente i metodi pluralistico e complessista.

 
   
   
   
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